J'ai découvert Stanley Greene à travers la bande dessinée "Stanley Greene, une vie à vif" et de son livre "Plaie à vif : Tchétchénie 1994 à 2003".
Ce photographe, de guerre notamment, s'est placé au coeur des événements et des combats. Il a franchit le mur de Berlin au moment même où les premières pierres tombaient mais pas dans le même sens que les autres : vers l'Est. Sa jeunesse l'a conduit a connaître la violence et le combat. Il fallait bien cela pour se trouver au coeur de ces événements tragiques pour prendre des photos sans prendre ses jambes à son cou. Il a sû prendre les événements sur le vif et ce n'est pas pour rien que ce mot se retrouve dans les titres des livres ci-dessus.