Photoreporter juste après la Seconde Guerre mondiale, Edouard Boubat est marqué par les atrocités et décide de consacrer son œuvre à la célébration de la vie.
Ce métier lui donne assez de liberté et il multiplie les voyages. Il a fait également des portraits devenus célèbres de nombreuses personnalités.Il s’intéresse particulièrement à montrer les moments vides de la vie et en exalter tout le bonheur. Il présente « un quotidien dépouillé mais plein de grâce, de poésie et d'une plénitude intemporelle.
Christian Bobin illustre des photos de Boubat dans son livre "Donne-moi quelque chose qui ne meurt pas".